lundi, 21 mai 2018
La leucose bovine demeure présente dans le cheptel québécois.
Par Ricardo Codina
Qu'est-ce que la leucose bovine? C'est, rappelle un article paru dans La Terre de chez-nous sous la plume du Dr Sébastien Buczinski, m.v., DÉS., M. Sc., DACVIM, un virus qui va se retrouver dans des lymphocytes du bovin. Une fois l'animal atteint par ce virus, il ne peut pas s'en débarrasser et c'est contagieux via le sang contaminé.
Il faut donc porter une attention particulière durant un protocole invasif, s'assurer d'un changement de matériel et sa désinfection avant réutilisation le cas échéant. Par protocole invasif cela peut être le parage d'onglons, l'écornage, le tatouage et les prises de sang. Ces consignes vont de soi mais mieux vaut les rappeler et comprendre leur non respect.
Il est toutefois possible que le virus se retrouve dans le colostrum et infecte ainsi le veau. Les insectes piqueurs passant d'un bovin à l'autre sont aussi un facteur de propagation possible.
La leucose bovine est chronique et sournoise car il y a peu de symptômes. À cet égard, moins de 5% des animaux qui sont affectés développeront un lymphome (cancer généralisé). Diagnostiqué ou pas, la maladie se traduit par la mort précoce de l'animal ou une production de lait fortement diminuée par rapport aux bovins non infectés.
Pourtant, la leucose bovine est facile à détecter par échantillon de sang ou de lait du réservoir à la ferme. Les tests disponibles sont fiables de manière générale. À cet égard, les Producteurs de lait du Québec insistent sur la nécessitée d'évaluer l'importance de la leucose bovine dans les troupeaux de la province. Le but est de connaître l'étendue de la maladie et la contrôler voire l'éradiquer.
Si l'on détecte la présence d'anticorps dans un échantillon de réservoir, cela permet de mesurer l 'importance de la leucose parmi les vaches en lactation d'un troupeau donné. Une fois découvert cela permet de faire des test sanguins chez les sujets plus jeunes (six mois) et éviter une perpétuation sans fin du virus dans son troupeau.
Il va de soi que les médecins vétérinaires praticiens jouent un rôle important pour aider le producteur à adopter la solution la plus pertinente pour son troupeau afin d'éradiquer la maladie. À cet égard, les producteur ont reçu ou recevrons un formulaire permettant au médecin vétérinaire traitant à avoir accès aux résultats d'analyse du réservoir.
La leucose bovine est éradiquée dans d'autre régions du monde, comme l'Europe, mais elle est encore très répandue en Amérique du Nord. À titre d'exemple, on estime qu'au Canada de 70 à 90% des troupeaux laitiers comptent au moins un animal infecté. Chaque troupeau laitier du Québec compterait donc, théoriquement entre une vache infectée à 80% des animaux infectés. C'est à déterminer. La leucose bovine n'est pas transmissible à l'homme.
Pour plus d'informations : http://lait.org/fichiers/Revue/PLQ-2017-10/sante.pdfPar Ricardo Codina
Qu'est-ce que la leucose bovine? C'est, rappelle un article paru dans La Terre de chez-nous sous la plume du Dr Sébastien Buczinski, m.v., DÉS., M. Sc., DACVIM, un virus qui va se retrouver dans des lymphocytes du bovin. Une fois l'animal atteint par ce virus, il ne peut pas s'en débarrasser et c'est contagieux via le sang contaminé.
Il faut donc porter une attention particulière durant un protocole invasif, s'assurer d'un changement de matériel et sa désinfection avant réutilisation le cas échéant. Par protocole invasif cela peut être le parage d'onglons, l'écornage, le tatouage et les prises de sang. Ces consignes vont de soi mais mieux vaut les rappeler et comprendre leur non respect.
Il est toutefois possible que le virus se retrouve dans le colostrum et infecte ainsi le veau. Les insectes piqueurs passant d'un bovin à l'autre sont aussi un facteur de propagation possible.
La leucose bovine est chronique et sournoise car il y a peu de symptômes. À cet égard, moins de 5% des animaux qui sont affectés développeront un lymphome (cancer généralisé). Diagnostiqué ou pas, la maladie se traduit par la mort précoce de l'animal ou une production de lait fortement diminuée par rapport aux bovins non infectés.
Pourtant, la leucose bovine est facile à détecter par échantillon de sang ou de lait du réservoir à la ferme. Les tests disponibles sont fiables de manière générale. À cet égard, les Producteurs de lait du Québec insistent sur la nécessitée d'évaluer l'importance de la leucose bovine dans les troupeaux de la province. Le but est de connaître l'étendue de la maladie et la contrôler voire l'éradiquer.
Si l'on détecte la présence d'anticorps dans un échantillon de réservoir, cela permet de mesurer l 'importance de la leucose parmi les vaches en lactation d'un troupeau donné. Une fois découvert cela permet de faire des test sanguins chez les sujets plus jeunes (six mois) et éviter une perpétuation sans fin du virus dans son troupeau.
Il va de soi que les médecins vétérinaires praticiens jouent un rôle important pour aider le producteur à adopter la solution la plus pertinente pour son troupeau afin d'éradiquer la maladie. À cet égard, les producteur ont reçu ou recevrons un formulaire permettant au médecin vétérinaire traitant à avoir accès aux résultats d'analyse du réservoir.
La leucose bovine est éradiquée dans d'autre régions du monde, comme l'Europe, mais elle est encore très répandue en Amérique du Nord. À titre d'exemple, on estime qu'au Canada de 70 à 90% des troupeaux laitiers comptent au moins un animal infecté. Chaque troupeau laitier du Québec compterait donc, théoriquement entre une vache infectée à 80% des animaux infectés. C'est à déterminer. La leucose bovine n'est pas transmissible à l'homme.
Pour plus d'informations : http://lait.org/fichiers/Revue/PLQ-2017-10/sante.pdf
Qu'est-ce que la leucose bovine? C'est, rappelle un article paru dans La Terre de chez-nous sous la plume du Dr Sébastien Buczinski, m.v., DÉS., M. Sc., DACVIM, un virus qui va se retrouver dans des lymphocytes du bovin. Une fois l'animal atteint par ce virus, il ne peut pas s'en débarrasser et c'est contagieux via le sang contaminé.
Il faut donc porter une attention particulière durant un protocole invasif, s'assurer d'un changement de matériel et sa désinfection avant réutilisation le cas échéant. Par protocole invasif cela peut être le parage d'onglons, l'écornage, le tatouage et les prises de sang. Ces consignes vont de soi mais mieux vaut les rappeler et comprendre leur non respect.
Il est toutefois possible que le virus se retrouve dans le colostrum et infecte ainsi le veau. Les insectes piqueurs passant d'un bovin à l'autre sont aussi un facteur de propagation possible.
La leucose bovine est chronique et sournoise car il y a peu de symptômes. À cet égard, moins de 5% des animaux qui sont affectés développeront un lymphome (cancer généralisé). Diagnostiqué ou pas, la maladie se traduit par la mort précoce de l'animal ou une production de lait fortement diminuée par rapport aux bovins non infectés.
Pourtant, la leucose bovine est facile à détecter par échantillon de sang ou de lait du réservoir à la ferme. Les tests disponibles sont fiables de manière générale. À cet égard, les Producteurs de lait du Québec insistent sur la nécessitée d'évaluer l'importance de la leucose bovine dans les troupeaux de la province. Le but est de connaître l'étendue de la maladie et la contrôler voire l'éradiquer.
Si l'on détecte la présence d'anticorps dans un échantillon de réservoir, cela permet de mesurer l 'importance de la leucose parmi les vaches en lactation d'un troupeau donné. Une fois découvert cela permet de faire des test sanguins chez les sujets plus jeunes (six mois) et éviter une perpétuation sans fin du virus dans son troupeau.
Il va de soi que les médecins vétérinaires praticiens jouent un rôle important pour aider le producteur à adopter la solution la plus pertinente pour son troupeau afin d'éradiquer la maladie. À cet égard, les producteur ont reçu ou recevrons un formulaire permettant au médecin vétérinaire traitant à avoir accès aux résultats d'analyse du réservoir.
La leucose bovine est éradiquée dans d'autre régions du monde, comme l'Europe, mais elle est encore très répandue en Amérique du Nord. À titre d'exemple, on estime qu'au Canada de 70 à 90% des troupeaux laitiers comptent au moins un animal infecté. Chaque troupeau laitier du Québec compterait donc, théoriquement entre une vache infectée à 80% des animaux infectés. C'est à déterminer. La leucose bovine n'est pas transmissible à l'homme.
Pour plus d'informations : http://lait.org/fichiers/Revue/PLQ-2017-10/sante.pdfPar Ricardo Codina
Qu'est-ce que la leucose bovine? C'est, rappelle un article paru dans La Terre de chez-nous sous la plume du Dr Sébastien Buczinski, m.v., DÉS., M. Sc., DACVIM, un virus qui va se retrouver dans des lymphocytes du bovin. Une fois l'animal atteint par ce virus, il ne peut pas s'en débarrasser et c'est contagieux via le sang contaminé.
Il faut donc porter une attention particulière durant un protocole invasif, s'assurer d'un changement de matériel et sa désinfection avant réutilisation le cas échéant. Par protocole invasif cela peut être le parage d'onglons, l'écornage, le tatouage et les prises de sang. Ces consignes vont de soi mais mieux vaut les rappeler et comprendre leur non respect.
Il est toutefois possible que le virus se retrouve dans le colostrum et infecte ainsi le veau. Les insectes piqueurs passant d'un bovin à l'autre sont aussi un facteur de propagation possible.
La leucose bovine est chronique et sournoise car il y a peu de symptômes. À cet égard, moins de 5% des animaux qui sont affectés développeront un lymphome (cancer généralisé). Diagnostiqué ou pas, la maladie se traduit par la mort précoce de l'animal ou une production de lait fortement diminuée par rapport aux bovins non infectés.
Pourtant, la leucose bovine est facile à détecter par échantillon de sang ou de lait du réservoir à la ferme. Les tests disponibles sont fiables de manière générale. À cet égard, les Producteurs de lait du Québec insistent sur la nécessitée d'évaluer l'importance de la leucose bovine dans les troupeaux de la province. Le but est de connaître l'étendue de la maladie et la contrôler voire l'éradiquer.
Si l'on détecte la présence d'anticorps dans un échantillon de réservoir, cela permet de mesurer l 'importance de la leucose parmi les vaches en lactation d'un troupeau donné. Une fois découvert cela permet de faire des test sanguins chez les sujets plus jeunes (six mois) et éviter une perpétuation sans fin du virus dans son troupeau.
Il va de soi que les médecins vétérinaires praticiens jouent un rôle important pour aider le producteur à adopter la solution la plus pertinente pour son troupeau afin d'éradiquer la maladie. À cet égard, les producteur ont reçu ou recevrons un formulaire permettant au médecin vétérinaire traitant à avoir accès aux résultats d'analyse du réservoir.
La leucose bovine est éradiquée dans d'autre régions du monde, comme l'Europe, mais elle est encore très répandue en Amérique du Nord. À titre d'exemple, on estime qu'au Canada de 70 à 90% des troupeaux laitiers comptent au moins un animal infecté. Chaque troupeau laitier du Québec compterait donc, théoriquement entre une vache infectée à 80% des animaux infectés. C'est à déterminer. La leucose bovine n'est pas transmissible à l'homme.
Pour plus d'informations : http://lait.org/fichiers/Revue/PLQ-2017-10/sante.pdf